mardi 22 février 2011

Les services des Sherlock Holmes de la guerre d’Algérie

Si le renseignement est l’affaire de spécialistes, il est réducteur d’en limiter l’étude aux seuls services spéciaux (d’un nombre souvent restreint) agissant généralement à la marge du gros des opérations. Largement oubliés, des hommes du renseignement sont présents au sein de toutes les grandes unités conventionnelles. C’est le cas par exemple durant les premières années de la guerre d’Algérie (54-58), période étudiée par l’auteur en master 2 d’Histoire.


Les 2èmes Bureaux : de la paix à la contre-rébellion

Un 2ème Bureau ou B2 (subdivision d’un état-major en charge du renseignement) est normalement présent dans l’organigramme de toutes les grandes formations militaires. En temps de paix, ils reçoivent des informations émanant d’organismes centraux et ne sont que des relais pour la formation à une guerre future. Longtemps, les B2 des unités se préparant à faire face au déferlement soviétique mettaient seulement à jour l’organigramme de l’Armée Rouge.

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NDLR : je peux communiquer le manuscrit plus complet du mémoire dont est tiré ces quelques éléments. Datant de 2009, il porte sur Le renseignement durant les batailles d’Alger – janvier à octobre 1957. Il suffit de me contacter via mon blog.

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